La crise pandémique a chamboulé le monde, des changements organisationnels ont dû être faits sur tous les plans. Tout comme la majorité des activités économiques, le milieu de la formation a également dû subir quelques accommodations pour qu’il devienne plus accessible pendant ces moments de précarité. Bien que l’e-learning ne soit un concept nouveau, l’inégalité sociale fait que ce mode d’apprentissage n’a connu mondialement son essor qu’à partir de 2010. Pour cette raison, vous aurez à découvrir comment la pandémie de coronavirus a-t-elle affecté le développement de compétences en entreprise ?
La pandémie : un blocage dans la continuité de la formation
Face au ravage du COVID-19, les autorités devaient impérativement prendre des mesures drastiques afin de minimiser les pertes humaines depuis l’apparition de cette maladie vers la fin 2019. N’ayant pas uniquement causé des perturbations sur le développement économique mondial, les vagues de confinements ont également eu de grandes répercussions sur le développement de compétences en entreprise. Sachant qu’une des missions principales de l’UNESCO est de décupler les compétences des salariés, cet organisme international a développé l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnels (EFTP) pour la mise en œuvre de ce projet. Suite aux désastres de la pandémie, 90 % des établissements dans le cadre de ce programme ont été définitivement fermés à cause des perturbations économiques rencontrées à travers le monde. Par ailleurs, l’UNESCO a sorti un rapport de 114 pays sur 126 grandement touchés par l’interruption des formations professionnelles en entreprise.
À savoir, cette suspension a duré entre 3 semaines à 3 ans selon la gestion du phénomène COVID-19 par les compagnies. La plupart des entreprises ont dû trouver une solution alternative auprès des plateformes en ligne afin de rendre la distance physique non-problématique dans le développement de compétences en entreprise. PAÉLO compte parmi les plateformes ayant pu minimiser les désastres lors de cette mésaventure. En effet, toutes les compagnies minières ayant collaboré avec cette PaaS ont eu moins de perte d’activité comparée à leurs concurrentes. Inopportunément, l’insolvabilité de la majorité de ces dernières a carrément engendré une rupture définitive des formations professionnelles.
Le COVID-19 : un frein pour le progrès des apprenants et de l’EFTP
Le confinement a fait naître chez certaines personnes un sentiment d’oisiveté. Cette interruption de longue durée peut faire office de rupture définitive des formations en cours. Ayant perdu le sens de l’organisation, les reprises au travail n’ont pas été aussi évidentes pour la plupart des employés. Cette démotivation n’est pas un facteur prometteur dans la formation professionnelle étant donné qu’elle n’a fait que perturber davantage la stabilité prenant peu à peu place. En voie vers la pérennité, les salariés qui ont rencontré une difficulté dans leur formation professionnelle devaient majoritairement reprendre leur cursus depuis le début. Les apprenants assidus, quant à eux, ont perdu tout contact avec leurs formateurs. Une séparation non-favorable pour ceux qui souhaitaient suivre de près le progrès des apprenants.
Afin d’éluder cette rupture, chaque compagnie avait dû ajuster leur plan de formation. D’un commun accord, les établissements de l’EFTP et toutes les compagnies ont alors convenu de mettre en place un système digital dans la gestion et le mode d’apprentissage. Sachant que la continuité des programmes n’a pu être accomplie, toutes les compagnies ont dû également envisager des coûts supplémentaires à cause de la prolongation des séances de rattrapage.
Les vagues de confinements : une ouverture à l’apprentissage à distance
L’apprentissage à distance était la solution alternative la plus prisée pour gérer la rupture avec le monde physique. Grâce à l’e-learning, le taux des risques a été réduit de 10 % lors de la pandémie. La plupart des écoles et des centres de formation professionnelle ont dû automatiquement se diriger vers cette option au bout de 2 ans de confinement. Cependant, les problématiques liées à l’accès à Internet et le rapport avec la technologie n’ont pas pu faciliter l’adhésion à ce mode d’apprentissage. Ayant su apprécier les aubaines de cette tendance, tous les secteurs d’activité se sont tournés vers la numérisation pour régler les problèmes organisationnels. En effet, la majorité des entreprises de grande taille misent sur le LMS pour mieux gérer les formations en entreprise. La plateforme PAÉLO est justement la zone d’échange idéale qui permet de mettre en relation formateurs et apprenants au sein d’une entreprise. De surcroît, cette plateforme ne limite pas ses fonctionnalités dans le domaine de l’apprentissage, mais elle propose également plusieurs fonctionnalités facilitant le travail du SGRH.
Arrivée du COVID-19 : promotion de l’égalité numérique
Inopportunément, l’illettrisme électronique est encore extrêmement présent dans certains pays du Sud, surtout en milieu rural. Certes, la pandémie a prouvé l’importance de la numérisation dans le quotidien. Toutefois, l’inégalité d’accès aux outils numériques ne permet pas d’appliquer universellement cette réforme. De plus, les fabricants et producteurs se montrent plus à l’écoute des besoins des occidentaux au lieu de prôner pour l’inclusion numérique. Malgré la mobilisation des ressources financières des commanditaires, plusieurs pays d’Afrique ont dû temporairement arrêter leur formation en entreprise. Une prise de décision qui a un impact socio-économique important ralentissant davantage le développement de plusieurs pays africains sur tous les plans. Prônant l’égalité numérique, les concepteurs de PAÉLO ont fait en sorte de la rendre ergonomique et accessible en mode hors connexion. Enfin, le degré d’impérativité de la digitalisation lors du COVID-19 a au moins servi d’ouverture à cette ère.